Quel est le premier maillot que tu as eu dans ton enfance ?
Je ne suis pas certain mais cela devait surement être celui de Ronaldinho lors de sa période au PSG. C’était un joueur que j’admirais beaucoup. A vrai dire, je crois que je ne l’avais même pas porté. Il était cloué au mur de ma chambre au milieu de posters à son effigie. Ce sont mes parents qui m’avaient offert cette tunique.
Et le premier maillot de club que tu as porté ?
C’est celui du FC Le Locle, où j’ai commencé le football à l’âge de 4 ans. C’était un petit maillot jaune qui n’était pas vraiment très joli si mes souvenirs sont bons (rires). Le premier maillot de match que j’ai eu était celui d’Oppliger à Xamax qui me l’avait offert lorsque j’étais junior à Neuchâtel. Le maillot rouge et noir de Xamax est également le premier que j’ai porté en tant que joueur professionnel.
Tu gardes un souvenir de tes premiers maillots que tu enfilais quand tu étais enfant ? Une émotion spéciale que tu pouvais ressentir ?
Quand j’étais tout petit je ne ressentais pas grand-chose je crois. Quand tu es petit, le rêve c’est de pouvoir avoir ton propre maillot un jour avec ton numéro et ton nom floqué dessus. C’est l’objectif de tous les enfants qui font du foot. Du coup, le jour où ça arrive vraiment, c’est impressionnant, et c’est quelque chose dont tu te souviens.
Le premier maillot floqué à ton nom, tu l’as encore ?
Oui je l’ai toujours, il est chez mes parents.
Un maillot en particulier t’a marqué durant ton enfance ?
Le seul maillot que j’aurais voulu posséder mais que je n’ai jamais eu c’est celui de la France de 1998 avec le numéro 10. J’avais une admiration folle pour Zidane.
Quel est le plus beau maillot de Super League ?
Servette bien entendu ! Cela étant, j’avoue une nette préférence pour le blanc plutôt que le grenat. Le blanc, il va avec toutes les chaussures, je l’adore. C’est plus compliqué avec le Grenat au niveau de la concordance des couleurs. Pour les autres équipes, j’aime bien celui de Bâle.
Et le plus beau maillot en Europe actuellement ?
Le troisième maillot blanc du PSG est vraiment magnifique.
Tu changes de maillot à la mi-temps d’un match ?
Non, vraiment très rarement. Dans notre équipe actuelle, pas mal de joueurs le font. Peut-être que je ne transpire pas assez (rires). Un match d’hiver où il pleut, je le change quand même pour une question de confort.
Comment ça se passe les échanges de maillot avec les adversaires à la fin des matches ?
Si tu as vraiment envie d’avoir le maillot de l’un de tes adversaires, c’est toujours mieux de le demander avant le match quand tu croises le joueur en question. Dans le championnat suisse, cela arrive rarement. Généralement, on s’échange les maillots entre potes ou connaissances comme j’ai pu le faire avec Rüfli après le match contre Saint-Gall.
Du coup tu en as amassé pas mal durant ta carrière ?
J’ai pas mal bourlingué dans ma carrière donc j’en ai pas mal oui. Celui dont je suis le plus fier et qui est le joueur le plus connu actuellement, c’est celui de Salah lorsqu’il était à Bâle. A Montpellier, lorsqu’on a joué contre le PSG j’ai tenté celui de Zlatan mais je n’étais pas prioritaire (rires). Je suis parti avec celui de Maxwell.
Quel est le plus beau maillot que tu aies porté ?
Un jaune fluo lorsque j’étais à Aarau. Il était top.